Le mot du Président sortant

13 ans de présidence par Jean-Louis MARMOND :
Février 2008 - octobre 2021


L’association CPU, support juridique de notre activité, s’est donné un nouveau Bureau. Marianne, notre nouvelle présidente s’est présentée dans ce numéro. Nous la connaissons puisqu’elle est bénévole depuis deux ans et qu’elle a pris une part active à bien des chantiers depuis son arrivée. Je la remercie d’avoir accepté de prendre la présidence de l’association.

Avec une nouvelle présidente, c’est un Bureau nouveau dont s’est doté le conseil d’administration.

Au poste de Secrétaire, Bernard DRUTEL remplace Catherine FROMAGER que je remercie pour les années de présence à nos réunions alors qu’elle réside loin et qu’elle sillonne la France pour l’exercice de la tutelle sur les établissements scolaires des Sœurs Saint Joseph.

Comme Trésorière, Josyane CLUZEL a accepté d’être la personne qui dépanne, le temps de trouver quelqu’un. Josyane a remplacé Marianne qui exerçait cette responsabilité depuis deux ans.

A la demande de notre Présidente, pour aider l’équipe qui se met en place, je reste Vice-Président, remplaçant Alain COMBESCURE qui a démissionné cet été ; je le remercie pour les années passées au Bureau, pour ce qu’il a apporté au CPU.

Relire les années que j’ai passées à la présidence du CPU, c’est relire la montée en régime et l’épanouissement de notre institution, relire également les vingt mois de crise sanitaire et le redémarrage du CPU. De nombreux bénévoles encore présents ont vécu ces années. Me viennent aux yeux des visages, des expressions, des accents, tout ce petit monde de jeunes et de séniors qui partagent cultures, connaissances, expériences pour vivre une fraternité.

Parler des années de présidence c’est aussi évoquer le travail discret réalisé au quotidien par l’inusable Jean-Noël pour que le CPU tourne. C’est évoquer la gestion économique ; j’ai beaucoup apprécié de travailler avec Dominique HIESSE dont l’expérience d’entrepreneur et l’audace ont boosté mes habitudes. Je rends hommage à Michel LEPERCQ qui, en professionnel, a vérifié nos comptes chaque année.

Je suis convaincu que pour qu’une institution vive, il faut que les dirigeants sachent passer la main. Dans ma vie professionnelle, je m’étais donné neuf années comme limite à ne pas dépasser dans un poste de direction. Retraité, j’étais bien désolé de ne pas suivre cette loi que je m’étais édictée ! Depuis cinq ans, plusieurs tentatives pour intégrer de nouvelles personnes aux responsabilités n’ont pas été fructueuses, jusqu’à cet automne...

Je poursuivrai avec joie mon engagement au CPU dans l’accompagnement de doctorants, et nous aurons encore l’occasion de partager bien des moments !

Jean-Louis MARMOND


Retour à l'infolettre