Nouvelles des anciens

NOUVELLES de Ilhem J. transmises par Marie-Antoinette
Ilhem est une ancienne du CPU. Elle est d'origine tunisienne mais a acquis la nationalité française.
Elle écrit à Marie-Antoinette "Bonsoir Marie-Antoinette. J'espère que tu vas bien et que tu es toujours présente au CPU.
Personnellement, j'ai évolué dans mon poste. Je fais du développement et de la Bioproduction. Je travaille à la fabrication des vaccins. J'aime bien ce que je fais.
C'est une belle expérience que le CPU; ça restera toujours dans ma mémoire d'avoir vécu avec tous les membres du CPU
"..

NOUVELLES de Supamon (thaïlandaise) transmises par Marie-Antoinette
Marie-Antoinette, je viens juste de recevoir votre carte AJD; ça me fait plaisir d'avoir de vos nouvelles. Je vous remercie pour vos souhaits de santé. Je suis d’accord avec vous que la santé est la clé de tout. Je sens notamment que j’ai besoin de dormir plus qu’avant.
Quant à vos questions, j'y réponds. La première concerne mes étudiants. Je sens qu'il y a une distance entre leur génération et la mienne, mais j’essaie de comprendre certaines de leurs idées. Cela aide à mieux s’entendre.
Je trouve qu’ils me respectent comme enseignante. Pour moi, c’est donc ok à 70% ☺️ Quant à mon mari, oui, il va venir faire sa thèse en Thaïlande car son secteur de recherche concerne la région voisine de notre province. Maintenant il a beaucoup de cours sur les fondamentaux en "Creative Industriel Design" à Taïwan.
Et de votre côté, tout va bien à Lyon et au CPU?
Je vous embrasse très fort
, Supamon

NOUVELLES transmises par James
Jùlia C.
, Espagnole (Catalane), était au CPU en 2012-2013. Docteur en médecine de la Faculté de Barcelone, elle exerce maintenant comme chef de clinique à l'hôpital de Nuremberg en Allemagne, où elle habite avec son compagnon, Frédéric, et leurs deux enfants, Eloi et Adiana.

Leah B., (F), Philippine, était au CPU en 2019-2020. Elle a obtenu un master 2 à l'ESIT (Ecole Supérieure des Traducteurs et Interprètes de la Sorbonne nouvelle) en 2022 et vise maintenant un concours de l'ONU. En attendant, elle vit à Paris en intervenant par visioconférences à l'Alliance française et à l'Institut Cervantès de Manille et en faisant des traductions en free-lance.

 

NOUVELLES de Tchiong transmises par Jeanne M.
Jeanne nous dit simplement qu'elle reste en contacts - très très espacés - avec Tchiong Y. C. (Chinoise)

NOUVELLES de Giulia, transmises par Pierre
Giulia écrit : J’ai soutenu ma thèse en Histoire grecque ancienne en décembre 2020, thèse pour laquelle j’ai bénéficié de l’aide du CPU et plus précisément de M Jacquier.
Ensuite, j’ai travaillé en tant que vacataire d’italien à Lyon 3 puis en tant que vacataire d’histoire romaine à l’université de Grenoble et d’histoire grecque à l’université de Savoie-Mont Blanc.
Depuis la rentrée universitaire d'octobre 2022, je suis ATER (attaché temporaire d’enseignement et de recherche) en histoire ancienne à Rennes 2. Je suis chargée de différents cours (CM, TD, outils de spécialité) pour les classes de licence et master d’Histoire et de Lettre. Les cours qui m’ont été attribués concernent l’histoire ancienne, l’archéologie et l’iconographie.

NOUVELLES transmises par François
Nouvelles de Valentina V.
Nous allons bien. Maintenant on habite à Milan, la ville natale de Tommaso. Anna a bien sûr grandi, elle parle beaucoup. Elle ne se rappelle pas de Lyon, mais elle a gardé le "r" français. Amitiés!

 

NOUVELLES de Ali A. transmises par Pierre J.
Cher(ère)s étudiant(e)s du CPU, Permettez-moi de vous souhaiter avant tout une bonne continuation dans vos projets d’études.
En ce qui me concerne, il est vrai que le CPU m’a apporté des soutiens importants sans lesquels mon projet d’étude n’aurait jamais abouti. J’ai soutenu ma thèse de doctorat en décembre 2019.
Peu après, moi et mon épouse nous sommes retournés en Iran pour commencer une nouvelle page dans notre vie, après sept années d’expérience de vie en France. Depuis, vu la situation politique du pays, et malgré mes tentatives pour trouver un poste universitaire, je n’exerce toujours pas le métier d’enseignant-chercheur dans le domaine de mes études : les droits de l’homme, hélas !
Par contre, pour satisfaire ma passion pour l’enseignement, je me suis lancé dans l’enseignement du français (FLE), la langue que j’adore tant. Je donne ainsi des cours au sein d’un Institut renommé à Téhéran, mais aussi dans le cadre de cours particuliers.
J’ai également mené une collaboration pendant plus de deux années avec un cabinet de traduction à Téhéran. Là il s’agissait de traduire des documents officiels tels que les relevés des notes, les titres de propriété, etc. Mais, la monotonie propre à ce métier ne m’a pas incité à continuer dans ce domaine.
Il est à souligner tout de même que je me suis mis à traduire un livre d’Edgar Morin, philosophe et sociologue français, en persan. La traduction va paraître bientôt dans une maison d'édition reconnue en Iran. Cela m’a donné de motivation pour traduire d’autres textes français en persan.
Bien qu’il soit vrai que traduttore traditore, comme on dit en italien, il faut également reconnaître que la traduction peut jouer un rôle décisif dans le rapprochement des cultures du monde. Un rapprochement crucial pour établir un véritable dialogue interculturel, ce dont on a besoin afin de pouvoir préserver la paix internationale d’une manière constante.

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