Interview d'une doctorante du CPU

Pourquoi es-tu venue au CPU ?
Je m’appelle Meng, je suis Chinoise et je suis en France depuis 2009. Quand j’avais 14-15 ans, j’avais lu le livre « Le Petit Prince » de Saint Exupéry et j’ai été séduite par ce livre : je me suis dit que la France devait être un pays romantique de sorte que j’ai décidé d’apprendre le français et puis je me suis inscrite à Lyon 2. Mon sujet de thèse porte sur la linguistique, et plus précisément sur la comparaison des terminologies relatives aux vins selon les pays. Là, une amie m’a recommandé le CPU. Mais mon mari habitant au Luxembourg, j’y réside.
Que penses-tu faire dans le futur ?
J’ai l’intention de rentrer en Chine après ma thèse et d’enseigner le français en université.
Qu’est-ce qui t’a étonnée en France ?
En cette époque du coronavirus, j’ai été étonnée de la réticence des Français à mettre des masques alors qu’en Chine cette pratique est courante. Aussi j’ai été aussi étonnée de voir que les garçons français étaient moins timides avec les filles. Une autre chose qui m’a frappée est la façon des professeurs en France de donner leurs cours : en Chine, on dispose davantage de documents.



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