Comment les bénévoles du CPU
comptent agir pour un monde meilleur
lorsqu'ils envisagent leur avenir personnel ?

En guise d'introduction...
Parmi les 200 Bénévoles du CPU beaucoup sont avancés en âge et en sagesse. C’est pourquoi, peut-être, bien peu ont répondu à notre question sur ce qu’ils imaginent faire dans l’avenir pour un monde meilleur…!
Cependant, on peut penser que dans leurs relations quotidiennes avec les étudiants de 80 pays de la planète, ils vivent au présent la certitude de travailler dès maintenant et avec bonheur, mais sans bruit et modestement, à ce monde meilleur. Les nombreux petits témoignages des étudiants contribuent à ce bonheur, surtout lorsque, retournés dans leur pays, ils continuent d'entretenir avec nous des relations amicales. Alors, étudiants du CPU de tous les pays, vous qui êtes maintenant plus de 3000, continuez de nous écrire pour nous raconter vos combats, vos réalisations, vos désirs, vos projets ! Nos relations au-delà des frontières contribuent à construire la paix de demain. JNG

Une bénévole

J’apporte ma contribution en faisant le choix de :
- placer mon argent mensuel et mes économies dans des banques éthiques et solidaires : le Crédit coopératif et la NEF, pour financer des projets locaux, sociaux, humanistes comme le logement, l’agroécologie, les énergies renouvelables, l’insertion des jeunes et des sans emploi…
- acheter les produits alimentaires dans des circuits locaux, respectueux des agriculteurs, des cycles naturels, de l’environnement.
- rester confiante et fraternelle dans les relations humaines. »

Un bénévole
- Je pense continuer concrètement (jusqu'à ma mort ?) à "faire le lien"' entre différentes personnes ou diverses instances. J'applique aujourd'hui mon activité au CPU et dans deux autres associations qui me permettent de m'investir dans le domaine socio-économique. Dans l'une, je parraine des créateurs d'entreprises qui sont à 80% des chômeurs. Dans l'autre, je mets en relation des associations qui ont des problèmes qu'elles n'ont pas les moyens de résoudre avec des consultants trop chers, et des salariés d'entreprises qui veulent faire du bénévolat de compétences.
- J'ai un souci permanent d'économie de la nature, de l'eau, de l'électricité, de l'essence et je reverse les montants économisés à des ONG, ce qui complète les dons habituels.
- J'ai le souci d'acheter 'local' et de consommer les produits en fonction des saisons : jamais de fraises le 25 décembre.
- J'écris pour le courrier des lecteurs de La Croix et je suis parfois publié ! Dans tous mes papiers, depuis deux ans, je m'élève contre la suffisance (non l'autosuffisance, mais l'orgueil et le mépris) de l'Occident et son hypocrisie et j'appelle à l'humilité et à un langage de vérité.

Un autre bénévole
Pour ma part, dans un état de retraité, il est difficile d’agir sur le "dur" de la société et du monde, reste le parti pris de la bienveillance dans toutes les rencontres et les situations qui se présentent.

Une bénévole

 

Je vais continuer de croire à l'Education, faite d' Amour (qui, comme la charité commence par soi-même ), je vais continuer à dire que notre planète est belle, qu'il faut se battre pour elle, et aussi que si on n'a plus d'espoir et de joie de vivre, c'est qu'on est vieux.

Un bénévole
La question de Jean-Noël m'a incité à m'occuper des files d'attente interminables des personnes qui viennent faire des démarches administratives à la Préfecture du Rhône. C'est une action concrète dont j'ose espérer qu'elle conduira à une situation meilleure pour toutes celles et tous ceux qui sont concernés, ce qui sera ma contribution pour rendre le monde un petit peu meilleur.
Pour vous joindre à cette action qui demande encore des bonnes volontés pour la soutenir, cliquez ici.

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